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Par Bassa le 11 Juin 2009 à 21:44Once upon a time
There was a very serious situation growing
There was a farmer and a farmyard filled with animals
And this is the story of their times
Verse 1
Old man Sammy had a farm
Walked the land with the wife
Most of the time shit was calm
His whole life was maintained off the everyday labor
from the mules in the field to the cattle in the stable
This is how we kept food on this table (maxing)
You would have he was disabled by the way he be relaxing
Acting like Mr. Magnificent
But the animals were thinking something different
The sentiment was tension in the barnyard
Throughout the years they had been through mad drama
with the farmer, word is bond
And they all came to one conclusion
They argued there was no way they'd ever be free
If it was up to humans
Therefore the only course left was revolution which was understandable
And since the pigs promised to lead in the interest of all the animals
They planned a full attack
Under the leadership of Hannibal
The fattest pig in the pack
The next morning on the farm
Everything was calm
Just before dawn
But before long
The sun got so hot it made the farm seem electric
Now check it
This is when that shit got hectic
Directed by Hannibal, the animals attacked
Old Sam was in a state of shock
And fell up on his back
And dropped his rifle
Reaching in vain
Each and every creature from the field at his throat
Screaming "Kill, feel the pain."
Chorus
This is the animal in man
This is the animal in you
This is the animal in man
Coming true (2X)
Verse 2
After they ran the farmer off the farm
The pigs went around and called a meeting in the barn
Hannibal spoke for several hours
But when talks about his plans for power
That's when the conversation turned sour
He issued an offical ordinance to set
If not a pig from this day forth then you insubordinate
That's when the horses went buckwild
One of them shouted out
"You fraudulent pigs, we know your fucking style!"
Hannibal's face was flushed and pale
All the animals eyes full of disgust and betrayal
He felt the same way Sam felt
They took his tongue out of his mouth
And cut his body up for sale, for real
You better listen while you can
Its a very thin line between animal and man
When Hannibal crossed the line they all took a stand
What would have done?
Shook his hand?
This is the animal in man
Chorus (4X)
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Par Bassa le 16 Février 2009 à 17:17
MEAT IS MURDER
Heifer whines could be human cries
Closer comes the screaming knife
This beautiful creature must die
This beautiful creature must die
A death for no reason
And death for no reason is murder
And the flesh you so fancifully fry
Is not succulent, tasty or kind
It's death for no reason
And death for no reason is murder
And the calf that you carve with a smile
Is murder
And the turkey you festively slice
Is murder
Do you know how animals die?
Kitchen aromas aren't very homely
It's not comforting, cheery or kind
It's sizzling blood and the unholy stench of murder
It's not natural, normal or kind
The flesh you so fancifully fry
The meat in your mouth
As you savour the flavour of murder
NO NO NO - IT'S MURDER
NO NO NO - IT'S MURDER
And who hears when animals cry?
LA VIANDE EST UN MEURTRE
Les cris des génisses pourraient être des pleurs d'hommes
Le couteau qui hurle s'approche
Cette belle créature doit mourir
Cette belle créature doit mourir
Une mort sans raison ...
Et la mort sans raison est un meurtre
Et la chair que tu fais frire de manière originale
N'est ni succulente, ni savoureuse, ni rien de ce genre
C'est une mort sans raison
Et la mort sans raison est un meurtre
Et le veau que tu découpes avec un sourire
C'est un meurtre
Et la dinde que tu coupes en tranches pour la fête
C'est un meurtre
Sais-tu comment les animaux meurent ?
Ces arômes de la cuisine ne sont pas vraiment accueillants
Ce n'est ni réconfortant, ni gai, ni rien de ce genre
C'est du sang qui grésille et l'odeur nauséabonde du meurtre
Ce n'est ni naturel, ni normal, ni rien de ce genre
La chair que tu fais frire de manière originale
La viande dans ta bouche
C'est le goût d'un meurtre que tu savoures.
C'EST UN MEURTRE
C'EST UN MEURTRE
Et qui entend quand les animaux pleurent ?
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Par Bassa le 10 Février 2009 à 08:32
Ce matin on nous a tous emmenés
Pourquoi sommes-nous séparés, mama
Entassés dans un cauchemar, la réalité
On sait bien ce qui nous attend là-bas
Et toujours des barreaux, des paysages
Chaque kilomètre nous éloigne, mama
Voilà donc bien la raison de notre naissance
Verra-t-on le bout du chemin de croix
J’entends ta voix tu sais j’entends
Mais je ne peux rien faire
Ici tout n’est qu’indifférence
C’est ta différence qui te condamne
Tu n’es qu’une marchandise oui
Gérée, ingérée, digérée
Vers un grand bâtiment on nous conduit
Maintenant je connais la peur, mama
Qui pourra bien nous entendre appeler
Pourquoi
J’entends ta voix tu sais j’entends
Mais je ne peux rien faire
La grande machine a le cœur blanc
Heureux les simples d’esprit tu parles
À satiété à pleines assiettées oui
L’homme est le maître, il décide, il va trancher
T’as qu’à y aller
T’as qu’à marcher
C’est tout tracé
Y’a plus qu’à y aller
C’est ainsi que les hommes vous aiment
Chers tendres et doux agneaux
Ils vous reçoivent en leurs demeures
Palais gustatifs et sanglants
Quant à vous qui engraissez à couvert
À votre banquet je ne viendrai pas
Non je n’ai pas le goût du sang
Des innocents
Permettez que je me désolidarise un instant
De vos sinistres besognes
Et de vos sombres desseins
Industriel, artisanal
Pas toujours bio mais très logique
Le meurtre suivra son planning
C’est ancestral
Pourquoi voulez-vous que ça change
Et ces convois qu’on ne voit même plus
Tant il en passe et en trépasse
Là où l’homme habite y’a son couteau
Tabaski veut d’la viande casher
Saigneur des agneaux d’un dieu hypothétique
Ou hostie sanglante du païen
Ceci est ton corps, cela est son sang
Faut qu’ça produise, faut qu’ça débite
Faut qu’ça crépite !
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Par Bassa le 27 Janvier 2009 à 15:37
Caresse un chat
Ta majesté règne et ordonne
Un petit chat
Ou un grand chat
Oui c’est bien chat
Caresse un chat
Un petit chat
Ou un gros chat
Je ne te dis qu’chat
On ne peut pas me mettre en troupeau
Ni faire de moi un jambonneau
Mais j’ai des frères dans les labos
Personne n’ose en piper mot
Si tu crois que l’animal rit
C’est que tu n’as pas tout compris
Une vie ça n’a pas de prix
Je suis quand même pas un sac de riz
Quand tu caresses
Caresse un chat
C’est une promesse
De rachat
Adopte un chat
Un petit chat
Mais pas d’achat
Je ne te dis qu’chat
Si t’as d’autres chats à fouetter
Je reprendrai ma liberté
Je ne t’embêterai pas cet été
Ni attachant ni attaché
Mais tu es lent aveugle et sourd
Moi je ronronne je te pardonne
Homo sapiens ça coince toujours
Caresse un chat
Un petit chat
Ou un grand chat
Oui c’est bien chat
Caresse un chat
Un petit chat
Ou un gros chat
Je ne te dis qu’chat
Je demande un droit de veto
Pour qu’il n’y ait plus trop de petits chats
Car on les tuera aussitôt
L’arithmétique c’est comme chat
Je reste avec toi pour la vie
Mais n’oublie pas tous mes amis
Car il n’y a que toi qui choisis
Ce qu’ils deviendront dans la vie
Caresse un chat
Un petit chat
Ou un grand chat
Oui c’est bien chat
Moi j’ai un chat
C’est un pacha
Il vaut bien chat
Et tcha tcha tcha
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Par Bassa le 27 Janvier 2009 à 15:04
Hey
Tu tues et moi je meurs
Je suis l’Animal qui est en toi
Je suis l’animal que tu hais
Si fier de ce que tu enseignes
Tu es bien le moins innocent
Car c’est bien toi ici qui règne
Tu as les mains pleines de sang
Il faudra bien renoncer
À la violence hors d’âge
Aux carnages planifiés
Aux prétentieux adages
Jamais il n’y aura d’art
Dans le mépris de la vie
Tu peux cacher ton dard
Tu t’estoques la vie
Je ne m’étendrai pas
Sur tes paillasses de labo
J’entends déjà tes pas
Jamais tu ne seras beau
Si fier de ta chimie
Tu traques l’expérience
Tu broies tous mes amis
Dans une mer de souffrance
Éructant ta puissance
Au gré de tes humeurs
Tu clames ta jouissance
Inventeur de frontières
De races et d’espèces
Et pourtant avant-hier
Tu n’étais que promesses
Et voilà maintenant que nos cadavres vous empoisonnent
Ajoutant l’absurde à la cruauté
Juste retour pour les âmes qui raisonnent
C’est l’inculture jusqu’à satiété
Derrière l’épaisse couche de conventions
Palpite ton être profond
Accueille donc toute lésion
Comme une chance à jouer à fond
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